Jésus était né à Bethléem en Judée au temps du roi Hérode le Grand. Or, voici que des mages venus d’Orient arrivèrent à Jérusalem et demandèrent : “Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu se lever son étoile et nous sommes venus nous prosterner devant lui.”
    (…) Et voilà que l’étoile qu’ils avaient vue se lever les précédait : elle vint s’arrêter au-dessus du lieu où se trouvait l’enfant. Quand ils virent l’étoile, ils éprouvèrent une très grande joie. En entrant dans la maison, ils virent l’enfant avec Marie sa mère; et, tombant à genoux, ils se prosternèrent devant lui. Ils ouvrirent leurs coffrets, et lui offrirent leurs présents : de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Mais ensuite, avertis en songe de ne pas retourner chez Hérode, ils regagnèrent leur pays par un autre chemin.

  « L’homme, porte en lui-même une soif de l’infini qui le pousse à chercher quelqu’un : Dieu qui seul peut combler son vide. »
« La vie de foi conduit à la connaissance de Dieu ».
« la foi chrétienne ne peut pas être réduite à un simple système de croyances et de valeurs, parce que le christianisme est avant tout l’événement de l’amour : l’accueil de Jésus, vrai homme et vrai Dieu ».
« La foi vécue ouvre le cœur à la Grâce de Dieu qui libère du pessimisme. Aujourd’hui plus que jamais évangéliser signifie témoigner d’une vie nouvelle, transformée par Dieu, et ainsi indiquer le chemin. ».

Menthon : Messe mardi et vendredi à 18h00, et Mercredi et Jeudi à 9h00. Chapelet : Mardi 17h30. Adoration du Saint Sacrement et confession : vendredi 17h00-18h00

Veyrier : Messe tous les jours à 8h30

Le week-end - Samedi 18h30 : Veyrier les 5 et 12 janvier.
Dimanche : 9h30 Talloires les 6 et 20 janvier, Alex le 27 janvier. Pas de messe à 9h30 le 13 janvier.
11h00 Menthon.

  ... Alors que nombre d’indicateurs suscitent de l’inquiétude, et que beaucoup de nos contemporains sont en quête de repères solides, notre société peine à débattre sereinement de décisions qui, si elles deviennent effectives, seront lourdes de conséquences, déjà maintenant et plus encore pour les générations à venir.

   C’est dans ce contexte que nous fêtons Noël.
L’Enfant de la crèche, c’est Dieu qui se fait proche jusqu’à devenir l’un de nous. Jésus est né dans un pays occupé, non dans un palais bien rangé mais dans un abri de fortune. Les premiers témoins - des bergers, des pauvres - ont spontanément interprété le message : « Tu n’es plus seul ». En effet, personne n’est trop loin pour que le Seigneur le rejoigne. L’Enfant de Bethléem brise nos solitudes et nos enfermements. Nous ne sommes pas abandonnés. Sans doute que les chrétiens ont eux-mêmes à intérioriser cette proximité de Dieu-avec-nous, pour en vivre. Quand nos gestes de solidarité prennent leur source et puisent leur force dans cette solidarité de Dieu avec l’humanité, ils sont la traduction concrète et vivante du même message : « Tu n’es plus seul ».

   Et voici que s’ouvre une nouvelle année.
Nous n’en connaissons pas la trame. Elle aura son lot de joies et de peines. Il dépend toutefois de nous qu’elle soit bonne, au moins pour une part. Est-ce sous l’effet de la sécularisation ? Nous entendons moins souvent l’expression consacrée : « Heureuse et sainte année ! ». Bonheur et sainteté vont pourtant de pair. Cette année sera sainte si nous la vivons avec le Seigneur. Nous ne sommes jamais seuls !

   En cette Année de la foi, nous devrions avoir à cœur de « redécouvrir la joie de croire » : « La foi grandit quand elle est vécue comme expérience d’un amour reçu et quand elle est communiquée comme expérience de grâce et de joie (…), elle dilate le cœur dans l’espérance ». Et Benoît XVI poursuit, en nous invitant à « intensifier le témoignage de la charité » : « Foi et charité se réclament réciproquement, si bien que l’une permet à l’autre de réaliser son chemin. » (Porta fidei, n° 7 et 14).

   Puissions-nous vivre dans la foi, demeurer dans la confiance, tout au long de cette année. La foi est une force qui nous fait tenir debout, parce que la foi est espérance, et l’espérance nous met à l’action. L’année nouvelle est un chantier ouvert qui demande des ouvriers courageux, habités par une espérance communicative. L’espérance est fragile, mais notre monde en a tant besoin… Heureuse et sainte année !

Nous prions pour : 11h à Menthon Messe des familles Pour toutes les familles des enfants du Caté.

Sépulture : Maurice Roche (Talloires) ; Marie-Louise Derobert (Talloires)

L'offrande de ce dimanche est pour la paroisse et le diocèse.