En ce temps-là, un lépreux vint auprès de Jésus ; il le supplia et, tombant à ses genoux, lui dit : « Si tu le veux, tu peux me purifier. » Saisi de compassion, Jésus étendit la main, le toucha et lui dit : « Je le veux, sois purifié. » À l’instant même, la lèpre le quitta et il fut purifié. Avec fermeté, Jésus le renvoya aussitôt en lui disant : « Attention, ne dis rien à personne, mais va te montrer au prêtre, et donne pour ta purification ce que Moïse a prescrit dans la Loi : cela sera pour les gens un témoignage. » Une fois parti, cet homme se mit à proclamer et à répandre la nouvelle, de sorte que Jésus ne pouvait plus entrer ouvertement dans une ville, mais restait à l’écart, dans des endroits déserts. De partout cependant on venait à lui.

   Seigneur Jésus, dans ta profonde sagesse, tu guides ton Église et les nations. Écoute aujourd'hui nos prières. Nos langues sont menacées de confusion comme jadis à la tour de Babel. Bien que nous soyons les enfants d'un même Père, nous sommes incapables de nous comporter comme des frères et sœurs.

Menthon : En Semaine Mercredi et Jeudi à 9h00, Mardi et Vendredi à 18h00.
Chapelet : Mardi 17h30. Adoration du Saint Sacrement et confession : vendredi 17h00-18h00

Le week-end :
- Samedi 18h30 - Veyrier.
- Dimanche : 9h30 - Alex le 15 février, Talloires le 22 février, Saint Germain le 8 mars.
11h00 - Menthon.

   Dans l’Evangile, Jésus montre une prédilection particulière pour ceux qui sont blessés dans leur corps et dans leur esprit : les pauvres, les pécheurs, les possédés, les malades, les marginalisés. Il se révèle médecin aussi bien des âmes que des corps. Aujourd’hui, l’œuvre salvifique du Christ se poursuit par l’intermédiaire de l’Eglise, qui considère les personnes malades comme une voie privilégiée pour rencontrer le Christ, pour l’accueillir et le servir. En effet, soigner un malade, l’accueillir, le servir, c’est servir le Christ : le malade est la chair du Christ.

   J’encourage la pastorale de l’Eglise à répondre avec la lumière de la foi aux questions existentielles sur le sens de la maladie et de la souffrance, et sur le pourquoi de la mort. Pour cela, il faut garder sous les yeux le Crucifix, dans lequel apparaît tout le mystère salvifique de Dieu Père, qui par amour des hommes n’a pas épargné son propre Fils. Les chrétiens sont également appelés à porter la lumière de l’Evangile à ceux qui souffrent et à ceux qui les assistent, membres des familles, médecins, infirmiers, pour que le service au malade soit accompli avec toujours plus d’humanité, avec un dévouement généreux, avec amour évangélique, avec tendresse.

   Je souhaite que toute personne puisse expérimenter, grâce à la sollicitude de ceux qui sont auprès d’elle, la puissance de l’amour de Dieu et le réconfort de sa tendresse paternelle.

Nous prions pour : Père Jean Duret ; Jeanne et Francis Bollard, Ste Agathe, Francis Brunet et son neveu Philippe, pour une famille, Henri et Denis Favre-Bonvin, Henri Favre-Marinet et fam., Marguerite Bochet-Cadet, Danièle Pasquier, Jean François Arnaud-Bour, Florence Gatellet, Michel Guitton, Céline et Fernand Bise ; en hommage à St Christophe, Nicole Bergerat, Marcel Lejeune; François Paris et Raymond Laas.

Sépultures : Bernard PERRIER (Talloires), Jacqueline FUGIER (Talloires)

L'offrande de ce dimanche est pour la paroisse et le diocèse.